Buenos-Aires - Sept 2006
David, Nanny et Papy sont venus nous dire au revoir à 5h du matin. Nous prenons l'avion à Düsseldorf : direction Madrid puis Buenos Aires. Le voyage est long et la fatigue se fait sentir vu le manque de sommeil de la veille.
A notre arrivée à l'aéroport de Buenos Aires, il est environ 20 h. Gabi nous attend. On a l'impression de se connaître depuis toujours ...Il pleut, non il drache...Emma est fâchée : 'Vous nous aviez dit que nous partions au soleil et bien ça commence bien le tour du monde...'
Gabi nous a préparé un bon plat argentin et Julian, Martin et Margo nous attendent. La maison de Gabi est superbe et l'accueil est extraordinaire !
Vers minuit, après 24 heures de voyage, nous tombons dans un sommeil profond.
Notre première nuit du tour du monde...
Au réveil, nous sommes heureux et prêts à découvrir l'Argentine.
Gabi habite à Coghlan, à quelques minutes du centre de Buenos-Aires que l'on rejoint en prenant le train. De bonne heure le matin, nous partons, il fait frais et sec, le ciel est bleu et le soleil est au rendez-vous. Nous en profitons pour nous balader dans les rues de Buenos-Aires.
La ville est immense ... riche en contrastes. On y ressent un passé glorieux et un présent difficile. Les gens sont merveilleux, accueillants, de bonne humeur ...
Marcher et faire de l'excercice ça creuse ...
C'est la FERIA a San Telmo. Au programme, musique, chansons, tangos, rires et rencontres ...
Nous continuons la visite de Buenos-aires, les quartiers colorés, les p'tits bars typiques ...
Sur la plaza Mayo, les enfants s'amusent à nourrir les pigeons et se font surprendre ...
C'est l'anniversaire de Catherine ... Gabi a préparé une surprise ... Tomoko et Izeqel nous rejoignent.
Nous découvrons le fameux steak argentin avec un bon vin du pays ... Un délice !
Nous avons souscrit à une assurance pour le Mercosur. Le véhicule ne sera disponible qu'à partir de jeudi. Daniel doit réceptionner le container au port. On nous annonce que les médicaments que nous avons embarqués seront peut-être refusés à l'entrée. ... On verra demain ... nous sommes impatients.
Suerte ...